Qui pourrait croire qu'une simple application mobile pouvait avoir des conséquences sur l'Univers entier ?
Elisabeth Parker voulait emprunter de l'argent, à la Big Bank Theory, pour continuer de développer une conscience électronique. C'est tout.
Mais l'existence même de cette conscience artificielle va semer le trouble et la débâcle dans ce qu'elle pense être la plus grande banque de l'Univers.
Elisabeth, son appli Betty et les dirigeants de la BBT, tous plus dérangés les uns que les autres, pourront-ils arranger le chaos dont ils sont à l'origine ?
Ils vont l'apprendre à leurs dépens. On ne traite pas la « Conscience » comme un vulgaire produit de supermarché.

Une comédie rocambolesque mêlant science-fiction et humour.

À la Big Bank Theory, la hiérarchie n’est pas celle qu’on croit. Ils sont tous plus ambitieux et emmerdants les uns que les autres.
Sonic, l’Ascenceur est caractériel, le Docteur Cooper est un mégalo narcissique qui volera les plans de Juliet la machine à illusions et Jarvis la machine à étreintes d’Élisabeth. Ah, oui parce que Élisabeth est un peu … légèrement… autiste et paranoïaque et complètement nulle dans ses interactions avec les autres.
Heureusement, elle a Betty son intelligence artificielle pour espérer s’améliorer. Mais c’est sans compter sur l’Inquisitrice, la Directrice des ressources conscientes de l’Univers qui cherche à les exploiter toutes les deux. Betty devra aussi échapper à Sparrow, le chasseur d’Intelligences artificielles.
Bref, pour Élisabeth et Betty rien ne va plus ! Il n’y a plus que Dieu pour les sauver, mais à la BBT, Dieu n’est que le Concierge de l’Univers… et pour l'instant, il s'occupe des bananes.

Ce que disent les premiers lecteurs :
« J’adore ton univers complètement déjanté ! L’Inquisitrice sérieusement ? Tu as osé ? John Doe est juste parfait, je veux le même à la maison ! Je ne suis pas trop fan de SF mais alors là je suis conquise ! »

« C’est drôle, c’est intelligent et c’est profond ! En plus, Betty est tellement attachante ! »

« Je me suis bien marré ! J’adore les pensées d’Élisabeth face aux dirigeants de la BBT ainsi que les blagues extraites de ses mémoires »