Il est urgent d'oser parler du VIOL et de ses conséquences, sur le plan humain, médical, psychologique, relationnel, professionnel...
Il est urgent de former les policiers, les juges, les médecins, les psychiatres, les travailleurs sociaux...
Les victimes de VIOL sont seules, abandonnées de tous, elles ont besoin d'écoute, d'empathie et de soins spécifiques.