Un thriller érotique publié au fil de l'écriture, à raison de deux épisodes par mois, en format kindle.
Extrait :
De toute évidence, Paul avait loupé un épisode. Les filles montraient une connivence telle que quelque chose lui avait certainement échappé. Elles ne lui laissaient aucun moment de répit. Le produit aidant, il lui semblait vivre une hallucination digne des années 70. L'effet en fut encore amplifié quand Alicia revint avec deux bouteilles de Champagne qu'elle s'empressa de déboucher. Marilyne en prit une, dont elle goûta le breuvage au goulot d'une manière plus qu'évocatrice. Puis, elle enjamba le corps de Paul et en déversa lentement une partie du contenu sur sa poitrine. Le frais liquide dégoulina joyeusement jusqu'aux pectoraux. Lynn, grande amatrice du nectar, enfourcha à son tour la monture, sexe bien ouvert contre ses lèvres épaisses et encore sèches, lapant avec gourmandise les seins, mordillant les tétons, s'attardant sur les nombrils, puis accompagnant le liquide jusqu'au membre épais et jouissant d'un bel et soudain épanouissement. Alicia, après avoir pris le temps de la contemplation, assise en tailleur un peu à l'écart, tout en sirotant une lampée et promenant mécaniquement ses doigts sur son abricot de plus en plus mûr et juteux, se rapprocha à l'insu de son homme, déjà submergé et immobilisé sur le dos, la tête enfouie dans l'intimité de Lynn, qui ne lui laissait pas trop le choix, ses deux mains ancrés solidement sur les seins en pomme de Marilyne, qu'elle lui offrait généreusement. Naïvement, Il pensait déjà être au comble du possible, d'un bonheur inimaginable, conscient que son hallucination n'était pas que liée au produit et qu'il la vivait en temps réel, de tous ses sens, même s'il n'y voyait plus grand-chose. Le plus surréaliste, c'était encore les sons, ou plus exactement l'absence de parole, qui renforçait la présence des soupirs, des gémissements, des frottements. Il pouvait même percevoir le bruit des bulles de Champagne qui éclataient au contact des peaux. Alors, quand il reconnut le goût du breuvage qui coulait abondamment dans sa gorge après avoir parcouru la raie et la vulve de Lynn, dans un flot savamment dosé par Alicia depuis la nuque de cette dernière, il poussa un grand cri, non que cela fut trop, non qu'il s'étrangla, mais bien qu'un nouveau seuil venait d'être passé.
Cependant, le ruissellement divin finit par se tarir, au grand damne de Paul qui avait encore soif. Ses mains passèrent naturellement des mamelons de Marilyne à ceux de Lynn, qu'il se mit à torturer, comme s'il suffisait de les malmener pour faire à nouveau jaillir le doux nectar. L'espoir et la motivation de Paul furent néanmoins récompensés. Alicia se pencha sur son cas, à genoux, exposant ainsi sa croupe qu'il trouva à tâtons et dont il commença à abuser d'une main alerte, tantôt la fessant avec la plus grande vigueur, à contre-temps de sa langue parcourant toujours la vulve de Lynn, en cadence avec celle de Marilyne qui torturait allègrement ses bourses et son oeillet. A partir du troisième claquement sonore, après un gémissement très évocateur, elle apposa ses lèvres humides autour de son gland, jouant avec sa langue autour de la corole, au rythme scandé par la main ravageuse de son amant, futur mari, père de sa progéniture et tortionnaire attitré.
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