Version revue le 11/11/2018
Voici donc cette sixième et ultime aventure de Sherlock Holmes.
Ce récit est mon hommage au plus grand conteur qu’il me fut donné de lire, Sir Arthur Conan Doyle, et à sa nouvelle, La figure jaune (The Adventure of the Yellow Face). Il n’aurait jamais écrit que cette unique nouvelle, qu’il demeurerait à mes yeux un grand homme et un grand écrivain.
Dans ce récit, Holmes se livre à son ami Watson et lui raconte sa toute première enquête. Une enquête bien particulière il est vrai.
Au cours de cette aventure, on découvre(apocryphe) :
- Pourquoi Sherlock Holmes pense que finalement tout nous ramène à la vie.
- Pourquoi Sherlock Holmes n’accorde aucune importance au rang social de ses clients.
- Ce qui va conduire Sherlock Holmes à dorénavant se méfier des apparences.
On y découvre également :
- A qui Sherlock Holmes offrit sa première carte de visite.
- Quel objet a le plus de valeur à ses yeux. Plus de valeur que tout l’or du monde en tout cas.
Résumé :
Michael d’Edimbourg fils premier ministre, le puissant Lord Harris d’Edimbourg, s’est compromis dans une affaire bien sordide. Mais heureusement il y a le jeune et impétueux Sherlock Holmes, qui ne connaissait pas encore John Watson, pour prendre les choses en mains.
Sauf qu’il y a une poupée et un manteau bien large, et c’est là toute la différence. Une toute petite et infime différence.
Merci à tous les lecteurs qui se lisent régulièrement mes adaptations de Sherlock Holmes.

Retrouver également sur ce site mon roman « À l’orée d’une rue ». Une histoire où le héros Vincent Muller découvre subitement la futilité et l’insignifiance de sa vie. Et si une rue miraculeuse ne s’ouvrait que pour nous et nous offre la possibilité de voir plus clair en nous !