Béatrice est une belle jeune femme un peu ronde avec, juste là où il faut, des avantages de poids. Elle est aussi dotée d’un robuste appétit. Étrangement, si son mari est très compréhensif, son amant en titre l’est beaucoup moins et la fait surveiller. Il découvre alors que sa superbe maîtresse sert aussi de jouet (juste parce qu’elle le veut bien) à un vieil aristocrate italien qu’elle connaît depuis toujours. Le détective convie l’amant désespéré à une séance plutôt agitée, en compagnie du vieil homme et de deux lycéens, mercenaires recrutés pour l’occasion…
Extrait :
- Alors dans ce cas, au travail, mon bonhomme !
- Et moi ? Tu ne m'accordes pas deux minutes ?
C'est la jeune femme qui vient d'intervenir, d'une voix pâteuse.
- Ne plaisantons pas veux-tu ? Avant que tu sois fatiguée, vraiment fatiguée je veux dire, ces jeunes gens auront crié grâce depuis belle lurette... Mais peut-être devrais-tu te donner un petit coup d’eau, histoire de te rafraîchir.
- Tu sais, je n'ai plus dix-sept ans. Ma chatoune est encore toute congestionnée, et toute pleine de ce jeune monsieur.
- Bien, alors on va faire autrement : en attendant que la minette de madame se remette de ses émotions, prenez-la par derrière.
Les deux garçons se regardent bouche bée, interloqués
- Ah non ! le grand brun, passe encore, mais le petit blond... comment tu t'appelles? Hervé ?
- Oui madame.
- Je t'en prie, appelle-moi Béatrice. - Tu sais Stefano, je n'ai jamais tellement goûté le supplice du pal...
- Ca, c'est toi qui le dit ! Si ma mémoire est bonne, tout dépend des circonstances. Mais il en sera fait selon tes désirs. Nous allons procéder ainsi : Tu vas aller te rafraîchir, puis Hervé te préparera comme tu aimes, à la suite de quoi tu accueilleras entre tes fesses le sexe de ce cher Didier, lequel est déjà d'une taille plus que respectable. Soit dit en passant, j'ai, au passage, admiré leur ampleur imposante ; n'aurais-tu pas pris quelques kilos, récemment ?
- Hypocrite ! C’est toi qui m’a demandé de prendre de l’ampleur ! Exprès pour quelqu’un qui apprécie les femelles prospères, paraît-il. Ce sont tes propres termes… Ne me dis pas, maintenant, que tu me trouves trop grosse !
- Pas du tout, ma fille ; ça te va à ravir, d'autant que tu as toujours la taille bien marquée et que la rondeur de ton ventre est tout sauf disgracieuse.
- Il faut peut-être le dire vite... Enfin, j’espère que tu as raison
- Non, non, je t'assure ; il est bombé mais lisse et tendu, il y a juste le moelleux nécessaire pour que la bouche des hommes se perde dans ta chair. Mais grands dieux, par derrière : quel cul ! C’est vrai que ça équilibre tes seins ! Admirez garçons, ces fesses splendides : vous ne verrez pas beaucoup de croupes aussi larges, qui ne soient complètement affaissées ou pleines de cellulite. Contemplez ces courbes, voyez comme elles s'enflent et s'épanouissent, défiant la gravité. Et dans les reins, ces fossettes attendrissantes ? Un miracle, je vous dis ; cette femme est un miracle de la nature ! Ah, comme je vous envie. Et regardez ces seins, en avez-vous déjà vus de semblables ?