Dans tous les quartiers, il y a toujours cette fille, cette voisine, qui a vingt ans et qui s’habille comme une trainée : toujours en mini-jupe quel que soit le temps et avec un décolleté d’une profondeur indécente. Et bien, cette fille, cette petite salope, c’est moi. J’ai vingt ans et j’adore baiser. Du coup, mes voisins sont ravis que je passe chez eux quand leurs femmes sont absentes. Mais aujourd'hui, c'est différent, la femme de Marc rentre plus tôt que prévu et me voit avec son mari. Elle me laisse le choix: Tout dire à mes parents ou être punie sur champs, à sa manière. J'accepte donc d'être punie par ces deux pervers !
Extrait:
Je me tape régulièrement deux ou trois voisins quand leurs femmes se barrent pour aller faire du sport ou du shopping pour dépenser l’argent de leurs maris. Je m’ennuie à la fac et je sèche souvent, alors je traîne dans le quartier et je regarde si mes amants sont rentrés et si leurs femmes sont sorties. ...
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec Paul, un voisin que j’ai rencontré il y a six mois environs...
Puis, brusquement, je l’attrape par son sexe et le force à se relever, je l’emmène directement dans sa chambre en le tenant toujours par la queue et je le jette sur le lit allongé sur le dos. Sans le laisser souffler un instant, je me déshabille complètement et je grimpe sur le lit une jambe de part et d’autre de son ventre et je m’agenouille sur lui. Il a le souffle un peu coupé. Ensuite, je remonte vers sa poitrine en poussant sur mes genoux jusqu’à ce que je sois à califourchon au niveau de sa tête. Ma chatte rasée mouille abondamment et brille sous la lumière du jour....
Le lendemain après-midi, je sèche les cours à la fac comme d’habitude et une folle envie de baiser me prend. A chaque fois c’est pareil, c’est une envie pressante comme quand on fume et qu’il faut absolument une cigarette...
Donc j’appelle chez lui. Il me dit que sa femme sort pour faire des courses et pour aller chez le coiffeur. Super, ni une ni deux je suis chez Marc, dans sa chambre à l’étage, et j’ai déjà sa bite dans ma main. Je lui demande quand même pour me rassurer combien de temps elle sera partie :
-Environs trois heures, on a largement le temps. Me dit-il d’un ton rassurant...
Soudain un petit bruit le fait réagir et il tend l’oreille. Puis, on entend le son de la porte d’entrée qui se referme violement.
-Qu’est-ce que c’est ! Demandé-je en retirant le sexe de Marc de ma bouche.
-Ce doit être Claire, dit-il d’un ton affolé.
-Je croyais qu’elle était partie pendant au moins trois heures ! Dis-je doucement.
Mon cœur commence à palpiter à mille à l’heure...
-Je ferais ce que j’estime être approprié pour une garce de ton genre, réplique Claire.
-D’accord ! dis-je fermement.
-D’accord quoi ?
-J’accepte d’être punie.
-Est-ce que tu es vraiment sûre ? Car une fois ta punition commencée, tu ne pourras plus changer d’avis. Me dit-elle d’un ton grave...
J’ai la queue de Marc complètement dans ma gorge et je sens ses testicules sur mon menton. Je ne peux pas bouger car Claire maintient ma tête contre le bas ventre de son mari. Je tousse et je suffoque mais rien n’y fait, Claire ne relâche pas son emprise. Je respire difficilement par le nez. Puis après une dizaine de secondes interminables, elle tire sur ma chevelure et me laisse enfin respirer. Ma bave luit sur le sexe de Marc et des gouttes de salive perlent sur ma poitrine. C’est vraiment très bizarre : plus j’étouffais avec la queue de Marc dans ma bouche plus mon excitation montait. Brusquement, Claire me tire par les cheveux et je laisse échapper un cri de douleur...