Derrière le pseudonyme de Gwendoline Roissy se cache une femme aux multiples facettes… découvrez son histoire et ses pulsions en lisant son journal intime. Ce témoignage est un extrait de la correspondance qu’elle entretient avec des hommes rencontrés sur internet. Voici plus de dix ans, Gwendoline explorait son masochisme en dialoguant avec des inconnus dont elle exécutait les ordres. Au fil des jours, elle nous livre un récit détaillé de son quotidien. Ce texte érotique est destiné aux adultes appréciant les jeux de domination et soumission.

Extraits :

Sa réaction fut brève et teintée de suspicion. Jeanne n’en croyait pas un mot et je ne pouvais espérer mieux. Une fois le rideau refermé, j’ai admiré mes fesses dans le miroir de la cabine. Le rouge s’était évaporé, seules demeuraient quelques zébrures provoquées par le martinet. En lui laissant envisager la vérité, ma situation devenait bien plus excitante. Nous nous sommes quittées après avoir terminé notre shopping. Sur le chemin du retour, je me suis demandée jusqu’où nous pourrions cultiver cette ambiguïté.

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Lorsque je regardais ma montre, les candidats devaient penser que je surveillais la durée de l’épreuve. Ils étaient loins de la vérité. Jamais ils n’auraient imaginé que cette femme puisse subir l’assaut de deux phallus brûlants. La chaleur de leur matière n’avait rien à envier à ma seconde peau. Prisonnière du latex,.je demeurais près de la fenêtre, préférant rester debout pour la raison que vous devinez sans peine ! Je cherchais en vain à diminuer les effets de cette pénétration.

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J’ai profité de ce spectacle pour procéder au rougissement de mon cul. 50 coups de cravache sur chaque fesse. 50 salves distinctes les unes des autres. J’ai pris le temps de m’appliquer et d’appuyer le mouvement. L’effet de balancier provoqué par les poids décuplait la morsure des pinces aux seins. Les autres n’ont pas bougé d’un millimètre, se contentant de provoquer une douleur singulière lorsque l’idée de ne plus écarter les cuisses me venait à l’esprit.

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Assise au bord du lit, je pouvais terminer de me vêtir. J’ai préparé ma chevelure en chignon et enfermé mon visage dans la cagoule en latex qui ne possède qu’une ouverture pour la bouche et deux pour les narines. J’ai respecté votre choix en appréciant d’être ainsi privée de lumière, prisonnière d’une chaleur qui allait s’accroitre progressivement. Ma perception sensorielle changea complètement, le son de la respiration devenant omniprésent.

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Je commence à croire que je vais rentrer chez moi insatisfaite. L’homme que j’ai éconduit plus tôt revient vers moi. Je m’imagine qu’il va être désagréable, bien au contraire. Il m’invite à le suivre et m’emmène jusqu’à l’entrée : un couple vient d’arriver, lui est fort, pas très beau elle est mince, charmante, jeune… et brune ! « Serait-elle susceptible de vous plaire ? » : j’ai répondu avec un sourire approbateur. Il s’est chargé d’aborder le couple, leur offrant une consommation.

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Je vois son visage disparaître entre mes cuisses, dans le prolongement, je devine son mec assis dans un fauteuil. Je distingue quelques silhouettes près de l’entrée. Mes muscles se raidissent, ma partenaire vient de trouver ma zone sensible. Elle s’y attarde pour mon plus grand plaisir. Avec sa main libre, elle accentue la cambrure de mes reins. C’était délicieux !

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Monsieur, la chienne se doit d’introduire la raison pour laquelle ses phrases sont désormais formulées à la troisième personne en utilisation l’expression appropriée. Vous, son Maître, en avez décidé ainsi jusqu’à nouvel ordre et elle vous en remercie.