Rose était vendeuse dans un magasin de confection, j'étais employé à l'usine voisine. Elle fréquentait au foyer du quartier des ateliers ouverts le mardi de 18 à 20 heures où l'on pouvait s'exercer à différents activités artisanales : Peinture sur soie, sur toile, inclusion, crochet, étain repoussé, inclusions etc.? Sous la conduite de moniteurs expérimentés. Le jeudi de 18 à 20 heures je jouais au tennis. Travail, loisirs, activités ménagères, jardinage : Nos journées étaient actives. Mariés depuis un peu plus de deux ans nous accordions une place importante à l'amour. Les fantaisies de Rose faisaient mon bonheur, son corps merveilleux m'inspirait et j'étais toujours prêt à répondre à ses besoins amoureux. Nue elle se mettait sur le dos, repliait ses jambes ouvertes, attendait que je la caresse, guidait mes doigts, offrait son pubis, aimait mon jeu de main dans ses bouclettes noires et finissait par soulever son bassin pour présenter une vulve accueillante. J'y introduisais un doigt, débusquais le clitoris, lui accordais une série de coups de langue. Après il fallait passer aux exercices consistants. Nous réinventions le kamasoutra. Que la vie était belle.