Promenades et intérieurs

La rue était déserte et donnait sur les champs. - Quand j’allais voir l’été les beaux soleils couchants - Avec le rêve aimé qui partout m’accompagne, - Je la suivais toujours pour gagner la campagne, - Et j’avais remarqué que, dans une maison - Qui fait l’angle et qui tient, ainsi qu’une prison, - Fermée au vent du soir son étroite persienne, - Toujours à la même heure, une musicienne - Mystérieuse, et qui sans doute habitait là, - Jouait l’adagio de la sonate en la.

Télécharger gratuitement depuis amazon.fr

Nous avons vérifié que ce livre était gratuit le 18 jan. 2024 - 09:26 Détails de l'offre