Philosophie de l'artifice (- contre - nature) Livre III: La révolution de l'artifice ***

Les structures, encadrant le pouvoir politique et permettant son exercice, ont besoin de richesses comme monnaie d’échange pour obtenir toutes sortes de biens et services nécessaires à leur survie, à leur développement, à leur pérennisation, et à l’accroissement de leur emprise territoriale, sociale et individuelle (Epsilon εʹ). Le progrès est à ce prix, et pour acquitter ce tarif, quoi de mieux que de maîtriser la fabrique de la valeur au sens le plus large possible (?).

L’avancement artificiel permet à l’humain d’acquérir des moyens de plus en plus efficaces pour dominer et s’approprier toujours plus sa propre nature et son environnement, jusqu'à la possibilité de faire un hara-kiri atomique sur un monde fait sien dans son ensemble (Ω). Tuer quelqu’un (r)est(e) le meilleur moyen de se l’approprier et de le contrôler définitivement, l’appropriation du monde par l’humain ne peut se régler définitivement que par la fin du monde – d’un monde et/ou de plusieurs – avec tout ce que cela implique d’(in)humain. C’est le feu d’artifice ultime qui guide la fin de transhumance du troupeau (post)humain de l’Orient naturel jusqu’à l’Occident de l’artifice.

La loi de l’offre et de la demande soumet les natures et les artifices des plus primaires aux plus novateurs, toujours, partout dans une altérité d'apparat permanente. Les besoins individuels et collectifs structurent le développement de l’artifice – plus ou moins – contre nature, et cela dans toutes ses dimensions – primaire, secondaire, abstraite, plus concrète etc. – (dé)faisant « Le Roman humain ».

Cet ouvrage s’inscrit dans le cadre philosophique de « L’artifice – contre – nature » publié en novembre 2017, et constitue le dernier Livre de la trilogie « Philosophie de l’artifice (- contre – nature) », publié en 2018.

Télécharger gratuitement depuis amazon.fr

Nous avons vérifié que ce livre était gratuit le 13 jan. 2020 - 06:24 Détails de l'offre