Philosophie de l'artifice (- contre - nature) Livre I: La nature fondatrice *

Il était une fois un être vivant doté d’une intelligence croissante, d’une colonne vertébrale de plus en plus perpendiculaire au sol, d’une main plus habile que n’importe quelle autre espèce naturelle (Genèse) : l’homo (sp, habilis, rudolfensis, gautengensis, georgicus, ergaster, erectus, antecessor, rhodesiensis, heidelbergensis, naledi, floresiensis, neanderthalensis, Homme de Denisova, sapiens, sapiens sapiens (…), puis transhumain, post humain (…). Celui-ci est le point de départ d’une universalité humaine qui se construit, se déconstruit, et se reconstruit cycliquement, dans une lutte perpétuelle de l’artifice contre la nature, faisant progresser "Le Roman humain" de l'orient naturel jusqu'à l'occident de l'artifice ultime.

Cet homo(...) de par ses aptitudes en perpétuels développements a la capacité de dominer individuellement et socialement son milieu naturel, pour créer le sien, afin d’apaiser sa souffrance naturelle (Alpha αʹ). Ce milieu est un milieu artificiel qui grandit par l’humain, de ses mains, source de tous les artifices, pour l’humain, dans l’humain plus ou moins inhumain et face au milieu naturel.

L’humain s’élève progressivement au-dessus du règne naturel animal, et réunit ses semblables dans des regroupements marquant le début du règne de « l’humanité ». L’addition croissante des individus est une longue marche en avant de la rudimentaire communauté de sang la plus incestueuse, jusqu'à la société reconnue comme civilisée, et faisant plus ou moins civilisation (Bêta βʹ).

Cet ouvrage s’inscrit dans le cadre philosophique de "L’artifice – contre – nature" publié en novembre 2017.

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