Le phénix garde en lui-même une histoire fantastique, douloureuse et terrifiante. C'est une histoire très amère car il voit sa splendeur à ses pieds, détruite et finie. Sans fard.

Le Phoenix atteint un stade de sa vie, une étape qui est difficile à comprendre, même pour la même. Il ne le comprend pas, et cela le tue de douleur.
L'histoire va que, cent ans, le phénix entre dans un état de destruction elle - même.
Quand il est proche de ce moment, il s'en va, loin de tout et de tout le monde; Peut-être souffrir seul.
Peut-être qu'il s'éloigne de tout pour que personne ne le voit pleurer.
Q eut - être pour quiconque de voir dans son état le plus horrible.
C'est horrible parce qu'il quitte sa vie pour vivre dans la mort pendant un moment où chaque seconde devient une éternité. Un temps où le temps est comme Dieu, où un jour est un mille ans parce qu'il sente que le temps se fixe. Parce que ressent la douleur et la douleur et ne sera pas s jusqu'à ce qu'il guérit la blessure.
Jusqu'à ce que la douleur ne disparaisse pas, il n'y a pas de paix.
C'est la mort. C'est ce qui lui arrive.

Le phénix s'en va, à une montagne, seule et séparé du monde.
Peut être il ne comprend pas ce qui se passe, ne comprend rien, mais aussi ne comprennent pas ceux qui les entourent; cela le rend plus douloureux, c'est pourquoi ça s'en va.
Nous les humains sommes comme ça.

Quand il s’éloigne, puis la douleur commence.
Il se sent seul et triste. Il n'a personne, et il doit passer par là seul.
Quand il commence juste à sentir ce froid terrible qui traverse son corps; il a peur et tremble; il sait que commencer bientôt le plus grand test de sa vie.

Quand il est seul et qu'il sent qu'il va commencer, il ouvre les yeux et, les larmes coulant le long de son bec, il voit tomber chacune de ses splendides plumes. Il les voit quitter son corps comme s'ils le détestaient ou comme s'ils étaient déçus de lui.
Le phénix laissera tomber son bec, celui qui l'a aidé à manger tant d'années de sa vie. Il voit sa vision disparaître, ce qui était essentiel pour atteindre ses objectifs, pour voir sa proie à des distances insurmontables.

Le Phoenix voit toutes les qualités qui lui ont donné la réputation d'être l'oiseau de feu, d'être le plus admiré, décoré et extrême de tous les oiseaux du monde.

Lui, avec douleur, regarde de bout en bout et voit son corps se transformer en cendres; voit son bec sur le sol; il voit ses ailes à ses pieds; il voit ses griffes lancées autour de lui; chacun de ses membres sur le sol et sans vie.
Un froid encore plus grand le traverse à l'intérieur, car il n'a plus rien à l'extérieur.
A ce moment précis, il éclate en sanglots;
C'est un cri amer et effrayant, un cri que personne ne comprendrait.
Pas même ceux qui l’ont admiré; pas même à ceux qui ont reçu leur aide; pas même ceux qui ont appris de lui.

Le phénix regarde vers le sol, et avec ses pattes sans griffes il touche ses ailes et ses becs, il vient à travers en essayant de les faire revivre. Il sait que ce ne serait rien sans cela. Il voit sa vie à ses pieds, toutes les cendres de retour.

Le phénix ne comprend pas pourquoi la vie lui fait cela; pourquoi la vie le paye comme ça après tant de réalisations, de tant de reconnaissance, après tant de splendeur.

Il pense peut - être à tous ceux qui le connaissent, à tous ceux qui l'admirent; penser à ceux-ci et pleurer parce que je n'imagine même pas la douleur pour laquelle Ça se passe en ce moment.

Peut - être que quand les autres sont heureux et souriants, il pleure et est triste parce que la vie s'est détournée de lui emportant toute sa splendeur, emportant son corps, emportant ses capacités.
La vie s'est détournée de lui enlever tout ce qui en fait un être de taille.
A ce moment, il ne voit et ne ressent que la douleur d'avoir tout perdu.