Musée d'Eliran

Présentation
Le Musée d’Eliran, est une bouffonnerie ironique et burlesque, et de mauvais goût, de 139 pages, illustrée de 65 photographies et quelques dessins. On peut y contempler toutes sortes d’objets historiques qui illustrent l’aventure humaine et l’histoire de France depuis la création du monde jusqu’à nos jours. On y trouve par exemple l’épluchure de la pomme mangée par Eve, l’épée de Damoclès, un fil du manteau de Saint Martin, l’os viril de Henri IV, le gland de Saint Louis, du sperme de Napoléon, les lunettes de William Shakespeare, le téléphone à gaz sans fil de l’armée française, une éponge à laver le cerveau des dissidents en URSS, etc., avec le récit des péripéties qui les ont amenés à meubler ce musée.
Vous verrez aussi un message chiffré sur la fin du monde de Robert Lepstein, le grand savant. Personne n’a réussi jusqu’ici à le décoder. Vous pouvez vous y essayer. Si vous y arrivez, vous aurez fait faire un grand bond en avant à notre civilisation. Le baron d’Olphus du Trun vous récompensera. Il vous offrira un cadeau venu directement de Chine d’une valeur de 1,5 € !

Extrait
Histoire du téléphone : en arrêtant Jules Dupond la gestapo emporta son vélo pour étudier le système d’espionnage. Les Allemands s’esclaffèrent en voyant le téléphone mobile à gaz. Ils pensèrent au retard technologique des Français, eux qui possédaient de véritables émetteurs-récepteurs électriques. Le commandant de la gestapo fit démonter le système pour récupérer le vélo de course qu’il offrit à son fils. Il donna les porte-bagages à son ordonnance. Il fit placer le téléphone sur une cheminée de son bureau avec le commentaire suivant écrit en Français et en Allemand : « Afec guoi les vranzais feulent cagner le querre ? Un délévone à casse ».
Après le débarquement des alliés en Normandie, le Marquis d’Eliran, trop vieux pour participer à la guerre a suivi les troupes anglo-américaines dans le but de glaner des souvenirs historiques du conflit. Au début de 1945, il visita ce qui restait du bureau de la gestapo d’Oberhausen, démoli par les obus, où se trouvait le prototype du téléphone à gaz. Il n’en restait qu’une partie. Le Marquis s’en empara et le plaça à l’arrière de la jeep qu’il avait louée au commandement américain et dans laquelle il transportait des « p’tites femmes » de Paris pour soutenir le moral des troupes, moyennant redevance.
Peu après il retourna à Paris, la jeep étant pleine d’objets historiques et les p’tites femmes pleines de maladies honteuses. Arrivé à son château le Marquis disposa les objets récoltés dans son château. Il plaça le téléphone dans les bras de l’une des armures de ses ancêtres qui se trouvait dans le couloir du premier étage.
A sa mort son fils récupéra le téléphone, ou du moins ce qu’il en restait pour étoffer son musée. Il est ici, là.

Mon parcours
Toute ma vie d’enseignant, j’ai écrit. Professionnellement et pour le plaisir. Quand l’heure de la retraite a sonné je me suis consacré à l’écriture sans intention de publier. Et puis Amazon Kindle Publishing est arrivé. Sur les conseils de mon entourage, je me suis lancé. Je suis devenu un auteur.

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