Arrivé à 40 ans, suffisamment aisé pour arrêter de travailler pour « gagner ma vie », je décide, sur les conseils d’un ami, de faire désormais « ce que j’aime » ! Et je réalise que ce que j’aime, c’est célébrer et prendre soin de la douceur des femmes !
Après avoir appris les bases du massage en Thaïlande, je deviens masseur « sensuel » à Paris.
Le problème est que j’aime et je m’éprends de toutes les femmes dont je m’occupe ! Et ces femmes aiment souvent que je m’occupe d’elles ! Je leur inspire confiance car je m’attache à leurs plaisirs et à leurs jouissances par mes massages « en douceur et profondeur » comme disait drôlement Adamo, et par mes gâteries ! Et puis, le massage à l’huile si sensuel mène au body massage sexuel et irrésistible ?
Mais je ne veux choisir l’une d’entre elles, car choisir, ce serait renoncer ? Jouir, c’est bien, mais initier au plaisir, c’est gratifiant ! Choisir l’une d’entre elles, ce serait renoncer à la diversité des femmes qui viennent à moi et au plaisir de révéler et de donner ?
Que feriez-vous à ma place ?
Mes nouvelles des séries « Initiations » et « idylles à Pattaya » sont incontestablement pornographiques plus qu’érotiques car plus descriptives qu’allusives !
J’ai essayé de présenter quelques idées sur les relations hommes/femmes en général, sur l’approche du plaisir sexuel d’autre part, une forme d’art, selon moi ?
Je décris la lenteur, la confiance, la tendresse et la douceur dans les relations sexuelles ! Vous n’y trouverez donc pas de violence, de mâles alpha et encore moins de salopes ! Ce n’est pas mon créneau !
Il fut un temps où la culture française avait la réputation de faire les « meilleurs amants du monde » ! Il serait temps de retrouver ces attentions, cette galanterie et cette connaissance jouissive du corps et de l’âme des femmes pour leur révéler le Stradivarius de l’Amour qui sommeille en chacune d’entre elles ?
Obtenir le plaisir de son ou de sa partenaire procure selon moi une satisfaction gratifiante complémentaire de son propre plaisir ?
Enfin je suis de ceux qui pensent qu’il n’y a pas de femmes frigides : seules les mauvaises langues croient ce genre de baliverne !