Je suis arrivé depuis deux mois dans cette petite ville du centre de la France. Auparavant, je travaillais sur Nîmes et vivais avec Christine, nîmoise d’origine espagnole. Nous nous sommes quittés à cause de son caractère explosif. Ce n’est pas sans regret que j’ai décidé de me séparer d’elle bien qu’elle soit toujours amoureuse de moi. J’adore son corps. C’est une magnifique brune aux longs cheveux, avec des fesses et des cuisses rondes. Ses gros seins, elle fait du 105 E, achèvent de me faire bander dès que je la vois. A plusieurs reprises, j’ai essayé de la quitter, mais dès qu’elle s’approchait de moi, je ne pouvais résister et nous finissions au fond de notre lit. Toutefois, je me suis lassé de son caractère explosif et ses colères hispaniques ont fini de m’éloigner d’elle. Après avoir longuement hésité, j’ai mis fin à notre relation. La dernière fois que je l’ai eue au téléphone, elle m’a promis de changer. Je lui ai demandé de patienter, le temps que je réfléchisse.
Depuis que j’ai obtenu ma mutation dans une filiale de ma société, elle m’a appelé deux fois. Depuis trois semaines, je n’ai plus de nouvelles. Je me suis absorbé dans mon travail. Mes collègues et moi nous entendons bien et nous œuvrons dans une excellente ambiance. J’ai beaucoup d’affinités avec Elizabeth, une jolie rousse à cheveux cours de taille moyenne. Elle porte souvent des tenues sexy et des talons hauts qui mettent son corps mince en valeur. Souvent ses hauts moulent sa petite poitrine et laissent deviner ses tétons proéminents. Je la considère comme une amie. Je sais quelle est mariée et que son époux s’appelle Jean Pierre. Elle m’a raconté qu’il est commercial et voyage souvent à l’étranger. Ce soir, elle fête son anniversaire et m’a invité chez elle. Apparemment, nous serons une quarantaine. Lorsque j’arrive, il y a déjà beaucoup de voitures. Leur maison est à la périphérie de la ville et il n’y a pas de problème pour stationner. Je me gare et descends de voiture, puis je prends le cadeau que je lui amené. J’arrive au portail et je la vois qui reviens du sous-sol avec deux de ses amies. Elle me fait signe et je lui réponds, tout en allant à leur rencontre. Je remarque une blonde sublime, moulée dans une magnifique robe rouge qui lui arrive à mi cuisses dont les yeux verts sont posés sur moi. Nos regards s’accrochent et ne se quittent plus. Les trois femmes arrivent à ma hauteur et je les salue. Elizabeth me regarde bizarrement avec un petit sourire aux lèvres. Elle a remarqué mon attirance pour son amie blonde. Elle me présente d’abord Françoise, une brune aux longs cheveux. Sa forte poitrine attire mon regard, un instant. Elle fait un bon 110 E si mes yeux ne me trompent pas. Ses hanches et ses fesses rondes qui surmontent de longues jambes, ne sont pas désagréables à regarder d’autant qu’elle porte une robe sexy à dominante fleurie et des talons hauts. A son tour, la jolie brune pose ses lèvres sur ma joue. Son visage est très joli et ses yeux pétillent. Apparemment, elle me trouve à son gout. Puis Elizabeth intervient.
-Et voici, Lise. Tu connais maintenant mes deux meilleures amies.
Lise est grande, avec de longs cheveux blonds, une forte poitrine, environ 105D. Le tissu de sa robe dos nu est assez fin pour me laisser deviner ses tétons percés munis d’anneaux, ses hanches rondes et ses longues jambes fines, alliées à ses fesses pulpeuses, qui surmontent deux longues jambes fines terminées par des chevilles délicates et des pieds chaussés dans des escarpins à talons de quinze centimètres au moins, sont loin de me laisser indifférent.
A nouveau, nos yeux se rencontrent et ne se quittent plus. La jeune femme s’approche et ses lèvres se dirigent vers ma joue. Au dernier instant, elle tourne légèrement la tête et son baiser aboutit sur mes lèvres. Le bref contact me trouble encore plus, d’autant qu’elle m’a saisi la main et la presse dans la sienne, me faisant comprendre que je lui plais. Je prolonge le baiser