« Garance » est le prélude aux « Ailes de l’oubli », une saga fantastique à cheval entre deux mondes, le nôtre et Shambala, un univers parallèle où coexistent anges, humains et maudits.
Le personnage principal est une jeune étudiante eurasienne des beaux-arts prénommée Garance, qui vit dans le Paris des années 80. Passionnée de bande dessinée et de manga, elle ne vit que pour son art. Pour arrondir ses fins de mois, elle pose comme modèle pour une artiste peintre, dont le chat l’intrigue tout particulièrement. Lorsqu’elle découvre qu’il ne s’agit pas d’un chat mais d’un ocelot à moitié sauvage qui se trouve avoir appartenu à Salvador Dali, elle se retrouve embarquée malgré elle dans une aventure qui va l’envoyer à la recherche de ses origines au Japon, où elle découvre qu’elle est en réalité mi humaine, mi ange.
Poursuivie par des tueurs maudits, elle se réfugie à Shambala, où sa partie angélique prend le dessus. Elle déploie ses ailes et apprend à maîtriser ses pouvoirs : télépathie, téléportation et chronoportation (pouvoir de se déplacer dans le temps). Elle découvre que Shambala et Gaïa sont liés. La guerre, le terrorisme et les cataclysmes divers qui laissent la terre sans répit affectent l’univers des anges. Certains événements en particulier forment des noeuds temporels, ou incidences. Garance va devoir retourner sur terre pour modifier ces incidences, afin d’éviter les catastrophes à venir. Elle va devoir combattre deux incidences en particulier : Tchernobyl et le 11 septembre. Dans un premier scénario, la catastrophe de Tchernobyl raie l’Ukraine de la carte et les attentats du 11 septembre provoquent des millions de mort et la chute de l’occident. Elle va donc tout faire pour détourner ces incidences et changer l’avenir. Elle est aidée dans sa quête par des personnages hauts en couleur : un ancien GI expert en arts martiaux, un ange déchu, des ninjas, une avocate, des chercheurs en physique nucléaire, des maudits, et une bande d’artistes parisiens un peu bohème. Le tout sur un rythme enlevé quasiment cinématographique.