Cette chronique familiale raconte la jeunesse de 7 à 20 ans de Laetitia Perrin (1847-1928), une fille de cultivateurs propriétaires aisés du Haut-Doubs, à la fin du second Empire, sur la période de 1854 à 1867. Enfant, Laetitia s’ennuie dans une famille dominée par les hommes et attristée par des deuils. Ses lectures et l’ouverture d’esprit de son institutrice, la poussent à se libérer du carcan des traditions et à revendiquer sa liberté.