Sur la planète Aurévia, le Mal n’existe pas. Ni guerre, ni crimes, ni violence. Un monde paradisiaque. En apparence…
Lorsque le Beloemm regagne l’île de Parawaï, une brume couleur de bronze surgit de nulle part et recouvre lentement les terres. Le Beloemm lui-même disparaît sous le nuage létal. Quelques hommes parviennent à s’échapper à bord d’un canot. Lorsque la brume se dissipe, l’île et le navire ont disparu. Comme s’ils n’avaient jamais existé !
A quelques milliers de kilomètres de là, la petite Ele’a s’apprête à épouser son compagnon, Darys, qu’elle aime depuis l’enfance. Mais Darys meurt. Désespérée, Ele’a accepte l’invitation du seigneur Ykhare, un homme puissant et énigmatique venu de la lointaine Shalymbaad, la ville la plus importante de la planète.
Commence alors pour la jeune femme une odyssée étonnante qui va l’amener à découvrir le monde d’Aurévia, à la fois magnifique et inquiétant. Car les événements étranges se multiplient autour d’elle, engendrant un climat chaque jour plus angoissant. Au terme d’un stupéfiant voyage initiatique, Ele’a finira par percer le secret de ce monde en franchissant la mystérieuse porte de bronze censée protéger ce secret.
Et ce qu’elle découvre de l’autre côté défie l’imagination.

La Porte de Bronze n’est pas seulement un roman fantastique, c’est aussi un récit symbolique et philosophique qui, au-delà d’une aventure pleine de rebondissements et de coups de théâtre, pose les questions fondamentales sur le sens de la vie et de la mort.
Il a été récompensé par le prix Julia Verlanger en 1994.