Le décor de ce thriller est le monde moderne : la crise financière, les grandes banques internationales, le conflit au Moyen-Orient et l’espionnage par les USA des réseaux informatiques mondiaux.
C’est la réalité.
Mais une réalité fragile : un banquier de l’île de Malte, le plus petit des états européens, décide d’agir pour la paix à Gaza, son pays de jeunesse, et déclenche une guerre dans les hautes sphères de la finance, en conspirant afin de provoquer la faillite de la plus puissante des firmes financières mondiales et en terminer avec l’hégémonie des grands banquiers sur le destin de la planète. Un scénario d’une machiavélique précision qui bousculera définitivement le statu quo.
C’est la fiction.
Mais comme bien souvent, quand on parle haute finance et espionnage, réalité et fiction se rejoignent. Des événements tels que ceux qui sont décrits dans ce livre se sont déjà produits et se produiront à nouveau un jour. Et s’ils débouchent sur un cataclysme financier, comme c’est malheureusement souvent le cas, on sait bien qui paiera la facture.
Autant y être préparé.

Jean-François Bouchard est un expert en matière de finance. Au cours de sa carrière, il a effectué de multiples missions en France, en Europe, en Afrique, dans les Caraïbes, s’occupant de lutte contre le blanchiment d’argent, de l’abandon du Franc pour l’Euro ou de contrôle des banques. Il a aussi travaillé plusieurs années dans les anciens pays communistes lors de leur accession à l’Union Européenne, et notamment en Roumanie et en Bulgarie.
Avec « L’homme qui torpilla Wall Street », il signe un thriller financier et d’espionnage où s’affrontent les grandes institutions bancaires, les services secrets qui n’hésitent plus à violer la vie des citoyens du monde entier, et les trafiquants mafieux des ex-pays de l’Est.