Après avoir fait un bout de chemin, avec « L’âme hors du corps », dans mes « Chroniques », il m’a semblé évident de les compléter par des faits à la fois scientifiques, qui remontent pour certains à l’antiquité, mais surtout à ceux basés sur des découvertes plus récentes émanent de la physique quantique dont une des théories assez prometteuses celles des supers cordes pourraient faire changer notre point de vue et curieusement nous rapprocher, de pratiques beaucoup plus anciennes comme le chamanisme, les religions multi ou mono théiste, les traditions anciennes orales ou écrites des peuples premiers...
Bien sûr, le fait d’être né en occident, en France, m’a fait me pencher tout naturellement sur des fondations plus saines, me semble-t-il, contenu dans le christianisme à ses origines, en évitant autant que faire se peut les sentiers battus et les ajouts dogmatiques qu’en ont fait les hommes au fil du temps, qui décidément ont beaucoup de mal, c’est mon point de vue, à ne pas chercher à dominer les autres hommes.
De ce constat il m’a paru tout naturel de prolonger ma réflexion sur le concept de la vie et de la mort en l’étendant à celui, plus complexe à appréhender, de la « conscience », celles des âmes incarnées et des autres formes de vie, mais aussi et surtout celle, encore plus intrigante, d’une conscience plus vaste, « cosmique » que j’appelle « Dieu », oui parce que ce mot, qui ne peut le définir comme un être physique, évoque plutôt un être purement « mathématique », c’est-à-dire qui n’est pas définissable, ni identifiable dans la matière, que nous croyons connaître, et qui pourtant y est très prégnante.
Ce qui a fait dire aux religions, non pas « qu’on n’a pas le droit de le représenter », comme elles le prétendent, mais c’est mon point de vue, « qu’il est impossible de représenter un “concept” qui échappe à notre entendement et ne sera peut-être jamais saisi par notre esprit d’humain ».

Ainsi son né les « Essais sur la Conscience » et ce que nous appelons « ses états modifiés », qui sont la planche de salut d’une humanité embarquée sur le radeau de la méduse, c’est du moins mon point de vue !