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Pourquoi publier mes Envolées ?

Parce que chacune d’elle est tirée d’une histoire vraie qui peut toucher les cordes sensibles en vous.

En tout cas, c’est ce qu’elles ont fait en moi avant même la première ligne couchée sur papier…

Mes Envolées arrivent toujours sans crier gare suite à quelque chose qui déclenche en moi ce goût d’écrire spontanément, sans détour, et presque sans pudeur.

Voici un descriptif pour chacune de ces Envolées :

• Un soupçon de chocolat noir et Douce illusion: cela m’est arrivé pour vrai.


• Ode à la nuit: fut écrit à cheval sur la nuit entre la fin de mes 39 ans et le début de mes 40 ans.


• Où sont passés tes petits soldats, les gardiens de ton âme d’enfant: écrit pour faire prendre conscience à un ami, qu’il perdait son goût de l’émerveillement.


• Éparpillées comme les graines d’une fleur au vent: écrit pour sensibiliser mon entourage à une cause qui me tient à cœur.


• Prenez place: inspiré d’une toile d’un ami artiste-peintre, mais où se mélangent plusieurs personnages que j’ai connus personnellement.


• Chaternet et Surprise: de petites coquetteries qui sont venues me chatouiller les méninges.


• Le fantôme de la bibliothèque : hommage à mon grand-père paternel.

Vous retrouverez donc dans ce recueil, dix de mes plus belles envolées.

Je vous offre le début de deux d’entre elles, histoire de vous faire découvrir ma plume unique :


Prenez place - 10 juin 2011


Tranquillement, il s’étire… il respire…
Il respire? Ah oui! OK, il doit en faire une autre.
Une longue « autre » où il devra égrainer le temps.
Un temps infini dont il ne veut plus vraiment.
Il se lève et va faire ses ixièmes ablutions.
Il se trouve chanceux, à quatre-vingt-neuf ans,
De vivre encore chez lui et d’être si autonome.
Pourtant, il croyait que l’ennui le tuerait…
Mais l’ennui ne tue pas.
La solitude ne tue pas.
Ça fait au moins vingt-neuf ans qu’il a appris cette leçon
Le jour où sa belle est partie pour un supposé monde meilleur…
Il se penche et met une pantoufle sans réel souffle...

Où sont passés tes petits soldats, les gardiens de ton âme d’enfant ?- 28 janvier 2003


Où est passée ton âme d’enfant?
Je regarde dans le fond de tes yeux
Et il me semble qu’il y a un petit je ne sais quoi d’absent.
J’essaie d’y entrer…
Entrer de l’autre côté de cet iris noisette, et j’y réussis.
Cela m’apparaît trop facile!
Tant de souvenirs, tant de fraîcheur, tant de beauté
Auraient dû me bloquer le passage…
Où est passé ton âme d’enfant?
Pourquoi à la porte de tes yeux n’y a-t-il pas de gardien?
Où est passé le gardien qui était heureux avec toi
En regardant la neige tomber...


P.S. : Acheter mon livre est gage de faire dix petits voyages intérieurs qui sauront vous charmer ou vous émouvoir, et ce, tout simplement parce que mes envolées issues d’histoires vraies toucheront aux cordes sensibles au fond de votre cœur.