PIKACHU se voit être l’héritier d’un idéal qui n’a plus lieu d’être à la lueur d’une société où il lui faudra vivre, voire survivre.
À travers lui, c'est l’Odyssée d’une déchéance que chacun porte à sa façon en soi.
C’est le visage de celui qui s’égare pour que le monde s’y retrouve ; un visage embrasé qui vous insuffle d’infimes espérances, enivrements par les césures de l’existence.
Là se dilue une vie vers l’Insondable pour que chacun au-delà de sa condition soit un cri de Munch fraternel… ()
Là, c’est le Destin jeté sur les rives d'un souvenir afin que quiconque entrevoie que c’est au sein même de toute fragilité renouvelée que s’y loge l’élévation de l’Humanité… ()