La crise de quarante ans est un peu comme une ménopause pour un homme ! Le « héros » du roman, dont on ne connaîtra jamais le nom, semble quant à lui frappé d’une super ménopause. Complètement désorienté, suite à une rencontre fortuite avec un écrivain globe-trotter, il décide de se servir de l’écriture comme thérapie et part à la recherche de son passé. De souvenirs en souvenirs, il retrouve les femmes qu’il a aimées et qui le lui ont rendu, celles qu’il a aimées et ne le lui ont pas rendu et celles qui l’ont aimé et à qui il n’a rien donné… Décidé d’aller au bout de lui-même pour se comprendre, il descend au plus profond de son être, multipliant les expériences, plus décevantes les unes que les autres, découvrant au passage la mort et le désespoir de ceux qui croisent sa route, dans le seul but inavoué de tenter de reconquérir la seule femme qui ait vraiment compté pour lui…