Olivier avant de mourir était du style « beau gosse ». Charmeur, séducteur, légèrement misogyne, mais éternel amoureux. Un amoureux de l’amour, heureux de son statut d’homme, de cette allure de « macho ». Ce n’est pas la vie qui mettra fin à ses certitudes, mais un drôle de bout de femme, Alicia. À sa mort, il est condamné « aux travaux forcés » : être son guide spirituel. Un guide spirituel avec le faciès de Mister Bean…
« Au bonheur des fous » est le récit rocambolesque des aventures d’un ange gardien réincarné en magnet de réfrigérateur. Pas de magie, pas de tour de passe — passe. Juste un face à face désopilant entre deux êtres dont le plus paumé des deux n’est pas celui que l’on croit de prime abord.