Je marche sur cette route poussiéreuse qui me paraît bien longue. Mes pieds sont lourds, mes sandales me font mal. Le paysage qui s'offre à moi est monotone, mélange de sables et de rochers épars, aucune végétation ou habitation. Une faible brise soulève des grains de poussière et forme des tourbillons de sable éphémères.
Je suis seul et je n'ai pour seule compagnie que mes pensées...