« Ô humain ! Tu pourras faire le tour du monde sans pour autant parvenir un jour à faire le tour de ton être.
Tu pourras franchir les plus hauts sommets de ce monde sans pour autant penser à descendre dans la profondeur de ton cœur.
Ce cœur où réside ton vrai bonheur,
ce bonheur que tu recherches
en vain sur ces hauteurs lointaines…
Laissez-moi sortir de la prison de mes envies !
Qu’on ouvre grand, les portes et fenêtres que sont ces yeux et ces oreilles pour que les rayons pénètrent dans le cœur…
Entendez ce cri qui s’échappe de mon cœur. Oui, un cri qui sauve vaut mieux qu’un silence qui tue… »