Le conte « Il était une fois mon Belleville », entreprend un voyage dans le temps, une sorte « d’Enfants de Belleville » où, à travers un jeune regard, celui d’une petite fille exposant des fragments poétiques de mémoire, le souvenir de toute une communauté est invoqué, une sainte assemblée de la simplicité qui, puissante de sa vérité, trouve assurément sa survivance dans une immémoriale histoire commune.